Dernier épisode de la saga érotique L’art et la matière. Les tomes sont tous indépendants, aucun lien entre les histoires.
Des sifflements retentissent tous les jours lors du passage d’Harry et de sa collègues devant des ouvriers du chantier. Harry n’aurait jamais pensé qu’ils étaient pour lui, jusqu’au jour où Tony l’aborde dans un bar.
Tony n’a pas sa langue dans la poche, et lorsqu’il veut ou désire quelqu’un, il tente sa chance...
Harry Forrest, 35 ans est directeur d’une agence d’intérim. Fils unique, il vite dans la morosité depuis le décès de sa mère.
Tony Valverde est un ouvrier du bâtiment. C’est un homme plein d’humour et d’attentions, il est très solaire.
La narration est à la troisième personne, et le point de vue varie Harry et Tony.
La plume est fluide, et agréable à lire. L’histoire est charmante, et les personnages très attachants. Dans ce tome, l’auteure nous offre une histoire tout en douceur, rien de bien époustouflant sauf le côté déprimé de Harry. Elle joue plus sur le jeu de la séduction, et les instants sensuels.
Les émotions sont très belles. Harry est déprimé de puis la perte de ses parents, il culpabilise de pas avoir été là pour sa mère. Depuis, il se rabaisse, se sent mal dans son corps, il perd sa passion de la vie et gagne dans la peur d’être jugé. Quant à Tony, c’est la joie de vie, le soleil qui illumine tout. Il va entraîner Harry dans sa lumière.
Les relations intimes sont sensuelles, érotiques et bien dosées. Excellent.
Romance mignonne autour de la séduction et de l’érotisme de notre duo. C’est contemporain et spicy. La plume est très agréable à lire entre humour, sentiments et sensualité. Un moment de pure détente et de chaleur.